Alors que l’équipe française de basket féminin s’apprête à affronter les néo-zélandaises, Valérie Garnier dresse un bilan sur le parcours et les attentes qu’elle exige de son équipe. L’entraîneur des bleues nous confie son ressenti sur une première mi-temps qui semble satisfaisante et réussie. Cependant, l’ancienne joueuse française souligne un certain relâchement de ses joueuses. Elle parle même plusieurs fois de difficultés à « être constant pendant quarante minutes ». Les françaises auraient-elles du mal à assumer l’intégralité de leur match ?
De plus, Valérie Garnier précise le rapprochement entre la Nouvelle Zélande, adversaire du jour, et les équipes du Canada et de l’Australie. Des équipes qui seraient de grande valeur, avec un jeu remarquable (et qui s’est souvent fait remarqué!). Mais la première victoire de l’équipe de France fût le symbole de la qualité de jeu des basketteuses, et sonne donc comme la première d’une longue série. La victoire était doublement importante, puisqu’elle était la première, cependant elle donne un accès à ce que Valérie appelle la « vraie compétition ». Une vraie compétition où l’équipe devra avancer en appliquant un travail délicat selon les difficultés éprouvées.
La coach rappelle donc, en plus de l’importance de ce match, l’intérêt d’être pleinement concentré, appliqué et surtout, de rester « présent pendant les quarante minutes !! »